Comment Chevènement fonde sur le terrain de cette bonne vieille droite classique, toute sa récente prétention à un destin national ?
BHL est un fervent adversaire de Jean-Pierre Chevènement, dont dénoncera le « maurrassisme », le « saddamisme » et le « philoserbisme ».
Les rapports entre Bernard-Henri Lévy et Jean-Pierre Chevènement ont toujours été exécrables. Cela a commencé, en 1981, dans un article...
Un certain monsieur Péricard. Madame Bovary, ce n’était pas lui. Jacques Delors, Alfred Jarry et le Parti socialiste. Moby Dick et le zapping. Le plus grand photographe du monde. Jean-Pierre Chevènement à Bagdad.
Après Pinochet, les Khmers rouges. Jean-Pierre Chevènement, saint républicain. Beaucé romancier. Rothko au musée d’Art moderne. Le corps subtil de Michel Petrucciani. Le dernier rabbin. L’euro contre Kojève. Claudio Magris, agent double.
Quand BHL évoque les intellectuels français, le ton est souvent décapant. Sur Antenne 2, sa série « Les Aventures de la liberté » a sans doute fait grincer des dents. Exactement comme le personnage de Bernard-Henri Lévy lui-même.
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Dans « Ce grand cadavre à la renverse », Lévy oppose la gauche « lyrique » à la gauche « mélancolique ». La critique de Jacques Henric.
Les intellectuels contraignent la classe politique à s’expliquer sur ce qui constitue aujourd’hui l’une des grosses épines européennes.
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